La violence est-elle défendable ? Les dimanches de la philosophie. Séance 15.

La première guerre mondiale a produit un terrible choc psychologique dans toute l’Europe. Comment le vieux continent a-t-il pu basculer dans l’horreur absolue et la barbarie en si peu de temps ? Au lendemain de la guerre, le pacifisme a gagné de plus en plus de partisans. On voulait faire de cette guerre la « Der des Ders », « plus jamais ça. » Cependant, cet idéal de non-violence est-il tenable dans un monde réel ? Allons plus loin, cette non-violence est-elle souhaitable dans un monde utopique ?

Voici les réflexions d’un penseur berrichon, lauréat du prix Marcel Nobel de la paix 2007, attribué par le Comité Nobel de Vierzon.

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~ par L'éphémère du crépuscule sur dimanche 21 septembre 2008.

5 Réponses to “La violence est-elle défendable ? Les dimanches de la philosophie. Séance 15.”

  1. « couilles molles » : ça va pas plaire au Partimou, ça…
    sinon, des réflexions philosophiques sur la Première Guerre mondiale : on voit tout de suite le professeur d’histoire qui fait cogiter ses 3e avec un paragraphe argumenté sur « la vie dans les tranchées » !

  2. 🙂 Je suis démasqué…
    Je leur ai fait écouter la chanson de Craonne et « la p’tite mimi » chantée par Desproges la semaine dernière.

  3. pour tout dire: on n’a toujours pas retrouvé Antoine d’Issoire!

  4. En 2012, si le besoin s’en fait sentir, le parti aimerait compter sur vos lumières conséquentialistes…

  5. @u Partimou. Je suis entièrement dévolu au parti mou. Que le parti ordonne et j’agirai (mollement).

    @ Pout. Comme je le disais à Marzi, je n’ai rien à voir avec la disparition du petit Antoine. Au moment des faits, je jouais aux cartes en buvant de la tisane avec des amis.

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